Cabine de cryothérapie à l’azote et chambre de cryothérapie électrique : comprendre les différences entre les deux technologies

En préambule, nous pensons qu’il est nécessaire de préciser un point important :

Notre entreprise FRANCE CRYO dispose d’une réelle expertise, aussi bien en ce qui concerne le développement, la production, l’installation et la maintenance de cabine de cryothérapie à l’azote et de chambre de cryothérapie électrique, qu’en ce qui touche la distribution des machines et de la formation à leur utilisation.

Notre expérience et nos différents savoir-faire, nous ont donc amené à maîtriser parfaitement ces 2 technologies, et sachez qu’aucune motivation mercantile nous amène à vouloir privilégier l’une plus que l’autre.

Vous souhaitez comprendre les différences entre les deux technologies ? Nous allons vous communiquer quelques informations qui vont vous permettre d’y voir plus claire.

Les technologies de la cabine de cryothérapie à l’azote et de la chambre de cryothérapie électrique, répondent surtout à des besoins différents, notamment en matière de volume d’activité, de rapidité de mise en œuvre et d’inertie de l’équipement .

Si la cabine de cryothérapie à l’azote est plus présente aujourd’hui dans les centres, c’est tout simplement dû au montant de l’investissement de départ qui est moindre. En effet, peu de personnes font un choix de cœur vers une technologie qui nécessite la gestion fastidieuse d’un consommable comme l’azote liquide.

C’est en partie pour cette raison, que la chambre de cryothérapie électrique révolutionne le monde du soin par le froid. Contrairement à la cabine de cryothérapie qui fonctionne à l’azote, la chambre électrique n’oblige pas à stocker de grosses bonbonnes de consommable.

Et si vous vous demandez quelles sont les différences d’efficacité entre les deux technologies ?Nous allons nous faire des ennemis, mais ce n’est pas très grave. Nous sommes, en effet, habitués à l’idée que nous nageons à contre-courant des discours commerciaux de certaines entreprises et des stratégies lobbying de grandes institutions…. Mais nous affirmons qu’il n’existe pas de différence d’efficacité entre la technologie à l’azote et la cryothérapie électrique.

Bien sûr, cette phrase pourrait être qualifiée de totalement absurde, sauf si on apporte quelques précisions supplémentaires.
La notion de résultats, quand on parle de traitements et de soins sur l’être humain, est forcément un concept un peu flou et non-mathématique, qui laisse la place à l’interprétation. En effet, un résultat peut être qualifié de phénoménal par l’un et de désastreux par un autre. De même qu’une douleur peut paraître tout à fait tolérable pour l’un, mais insupportable pour un autre.

Quant à l’utilisation des deux technologies, qu’en est il ?

Autant pour la cabine de cryothérapie à l’azote que pour la chambre de cryothérapie électrique, les protocoles sont relativement simples à élaborer, compte tenu du nombre de paramètres modifiables (température, temps de traitement, fréquence des séances). Mais pour les deux technologies, ils doivent être administrés avec quelques règles de base absolument incontournables .

La première des règles est que l’opérateur doit s’attacher à rechercher la meilleure qualité de choc thermique. La chambre de cryothérapie électrique présente un gros avantage qui tient au fait que ce sont des capteurs qui se chargent d’analyser la température corporelle et d’informer l’opérateur quand le choc thermique est atteint. Malheureusement, la cabine de cryothérapie à l’azote souvent qualifiée de « gourmande en consommation », pousse certains opérateurs peu scrupuleux à privilégier une démarche d’économie du consommable (l’azote) au détriment de la qualité du choc thermique.
Aussi, la chambre électrique facilite la mise en place du traitement par le froid, car le patient/client entre forcément dans un espace qui est déjà pré-refroidit à -110°C. Dans le cas d’une cabine à l’azote, chaque traitement ne devrait être réalisé qu’avec la parfaite assurance que le patient pénètre dans la cabine, lorsque celle-ci a été préalablement refroidie à -110° C. Mais pourtant certains opérateurs peuvent avoir tendance à faire pénétrer les candidats à la CCE dans une cabine qui n’a pas été suffisamment refroidie, voir même sans aucun pré-refroidissement du tout !!
(Expérience vécue et rapportée par un des clients d’un établissement de luxe situé en région montagneuse Française, dans une commune au fort pouvoir attractif sur la clientèle issue de l’ex-U.R.S.S. ).

Une sensation de froid intense dans le corps différente, selon les deux technologies

Il est vrai que la sensation de froid est ressentie comme plus intense dans le corps, avec la chambre de cryothérapie électrique. Pourtant la température descend à -110°C, quand elle atteint les -130°C avec une cabine de cryothérapie à l’azote.
L’«interprétation» et le «traitement du signal» permet d’intensifier le ressenti du froid dans une chambre électrique. L’objectif étant de mettre l’organisme en alerte et en mode protection. La comparaison avec la nage en surface ou en apnée est un bon moyen d’expérimenter et d’imager ce phénomène. Pour le commun des mortels qui ne connait le « grand bleu » que par le film de Luc Besson, cette comparaison sera tout a fait explicite.

Les contre-vérités sur la cryothérapie corps entier

Nous vous rapportons quelques contre-vérités .............lues sur certains sites soit disant spécialisés :

« Comme son nom l’indique, la Cryothérapie Corps Entier (CCE) doit donc être faite en immergeant le corps de la tête aux pieds. Immerger la tête est très important pour agir plus efficacement et optimiser la séance. Notre cerveau est une des pièces maîtresses de notre corps. C’est lui qui va analyser le choc thermique et faire en sorte d’envoyer les bons signaux. Si la tête n’est pas immergée la réaction sera plus lente et la séance moins efficace. »

Ce discours prouve à lui seul la méconnaissance totale des effets physiologiques d’une immersion dans un froid intense. Il est bien évident que ce ne sont pas les pieds qui vont devoir gérer la mise en défense de l’organisme par rapport à ce qu’il considère comme une agression et le cerveau n’a pas besoin d’avoir « la tête dedans » pour réagir via sa première stratégie de défense, la vasoconstriction.

Ce mécanisme physiologique de vasoconstriction est destiné à protéger les organes vitaux situés dans le tronc (cœur, poumons, ...) et la tête.

Nous aimerions vraiment savoir comment ces « spécialistes » argumentent le fait que, dans une cabine de cryothérapie à l’azote ou une chambre de cryothérapie électrique qualifiée de « véritable corps entier », le patient est systématiquement exposé......... avec un bonnet et un masque….

Il y a encore beaucoup de choses à dire pour bien expliquer les différences entre la cabine de cryothérapie à l’azote et la chambre de cryothérapie électrique. Si vous souhaitez obtenir des informations complémentaires, pour savoir quel appareil choisir pour votre futur installation, n’hésitez pas à prendre contact avec nous afin que nous échangions en toute transparence sur l’adéquation de telle ou telle technologie avec votre projet.

Nous vous assurons d’une démarche de conseil et d’information sans aucun engagement de votre part.